Insulter un juge : étude de cas Les faits : Lors d’un procès médiatisé, Maître DUPONT représentait la partie civile, c’est-à-dire la victime. Or, les coupables ont été condamné à une faible peine, ce qui a entraîné la colère de Maître DUPONT. Il pense d’ailleurs que l’un des juges, Monsieur DURANT, est responsable de cette clémence et lors d’une interview à un grand magazine, il traite le juge Monsieur DURANT de « traitre génétique » en référence au passé de son père pendant la Seconde Guerre Mondiale. Maître DUPONT est poursuivi disciplinairement et sanctionné d’un avertissement par l’Ordre des avocats. Il conteste cette…
Un avocat a-t-il le droit de mentir pour assurer la défense de son client ? Un avocat peut être amener à mentir sans le savoir pour assurer la défense de son client. En effet, il arrive parfois que le client ne dise pas toute la vérité à son avocat. L’avocat peut alors être amené à ne pas dire la vérité sans le savoir, sans le vouloir. Dans ce cas, ce n’est donc pas un mensonge, le client n’ayant pas été complètement transparent avec son avocat. L’avocat n’est donc pas responsable dans ce cas particulier. « En France, le code de déontologie…
Si les avocats ont une Robe noire, c’est parce qu’avant, les avocats étaient surtout des religieux et qu’ils portaient une soutane noire quand ils plaidaient. Le savais-tu ? La robe des avocats a traditionnellement 33 boutons, comme l’âge du Christ à sa mort.
Ta question est une question que l’on pose souvent aux avocats. Le Réglement Intérieur National de la profession d’avocat (RIN) définit les règles que les avocats doivent respecter. Or, selon l’article premier de ce Règlement, « l’avocat exerce ses fonctions avec (…) conscience ». C’est-à-dire qu’un avocat peut refuser de défendre une affaire qui est contraire à sa morale. Un avocat n’est donc pas obligé de défendre toutes les causes, mais toutes les causes peuvent être défendues.
La somme que versent les clients aux avocats s’appelle un honoraire. Les avocats doivent conclure une convention d’honoraires, c’est-à-dire un contrat entre l’avocat et son client, qui prévoit la manière dont l’avocat est rémunéré. L’avocat fixe les honoraires en fonction des moyens financiers du client, de la difficulté de l’affaire, de ses frais exposés, de sa notoriété et de son efficacité. L’avocat ne peut fixer pas ses honoraires qu’en fonction du résultat de l’affaire.